Nos poules brown rurales ont la vie belle dans Notre Basse-CourⓇ !
Nous avons créé ce système d’élevage pour rester tous les jours au contact de nos animaux. Nous les touchons, nous leur parlons, nous les observons. C’est par cette proximité quotidienne que nous aimons notre métier.
En nous intéressant au comportement et au langage de nos poules, nous sommes capables de connaitre leurs inquiétudes et leurs besoins. Nous nous montrons toujours aux petits soins !
Nos poules pondent dans des nids paillés. Le ramassage se fait à la main, au minimum 2 fois par jour.
Nous refusons de construire ces gros bâtiments dans lesquels logent des milliers d’animaux. Chez nous, nos brown rurales habitent des chalets en bois 4 étoiles. Ils n’excèdent pas 100 places !
En petits groupes, nos poules se retrouvent en famille et ont tout le loisir de se faire des copines ! Dehors, chacune profite d’une surface de 8 m² minimum, contre 4 m² en élevage plein air conventionnel ou biologique.
Notre élevage de poules pondeuses s’inscrit dans une démarche d’agriculture durable. Elle correspond à nos valeurs, et nous l’avons volontairement choisie.
Elle vise un équilibre entre la nature, le territoire et les hommes et femmes qui y vivent.
Nous préservons notre environnement et réduisons notre empreinte écologique.
- L’alimentation de nos pondeuses est produite à partir de cultures sans OGM (<0.9%) et de céréales de notre région. Nos poules pâturent dans des prairies riches en matières organiques qui sont de très bons pièges à carbone.
- Nous utilisons d’abord des produits naturels ! Notre meilleur insecticide est un mélange d’argile, d’algues et de silice. L’alimentation est garantie sans antibiotiques.
- Nos poules profitent d’une alimentation sans soja ! Ainsi, nous ne participons pas à la destruction de la forêt primaire. Savez-vous que la majorité des animaux consomme de l’huile de palme et du soja, et ce même en agriculture biologique ?!
- Notre consommation d’énergie est faible ! Nous valorisons le travail manuel et nous privilégions la proximité, des matières premières comme des consommateurs. Les kilomètres sont nos ennemis ! Nous livrons la totalité de nos productions dans un rayon moyen de 80 km.
- Nous réduisons notre empreinte écologique ! Nous n’utilisons ni gros matériel ni automatisation. Presque tout se fait à la main ! Dans nos Notre Basse-cour, vous trouverez difficilement du béton !
- Nous réhabilitons les haies bocagères ! Nos éleveurs s’engagent à une meilleure gestion de l’eau et au maintien de la biodiversité. Nos bâtiments en bois sont entièrement recyclables. Nous fabriquons nos propres peintures naturelles à base d’ocre et de farine. Nous cherchons à minimiser notre impact sur l’environnement, et à réduire notre empreinte carbone.
- Nous valorisons la prairie naturelle ! Nous ne recourons pas aux engrais chimiques et privilégions la matière organique sous forme de compost : déjections animales, etc.
- Nos œufs se commercialisent essentiellement en vrac (+ de 70 %). Nous les plaçons dans des emballages recyclés et recyclables. Les commerçants prolongent même nos efforts en vous incitant à rapporter vos boites ! Et ça, ça nous plaît ! Nos œufs se vendent chez des commerçants de quartier et des supérettes qui font le choix de la qualité : épiciers, crémiers, charcutiers, bouchers, primeurs, etc.
Ces dames dorment sur des perchoirs et pondent dans des nids garnis de foin !
Il ne s’agit pas d’artifices rétro destinés à évoquer la campagne ou les élevages à l’ancienne, mais de vrais atouts techniques. Les perchoirs et le foin garantissent à nos animaux un confort 4 étoiles ! Le savez-vous ? Chaque fois qu’une poule pond, elle refait son nid. Elle amasse des brins de foin, puis les range de façon à leur donner la bonne forme. Ce tapis propre et épais protège ses œufs des chocs. En garnissant son nid et en recouvrant ses œufs de foin, la poule exprime son instinct maternel et protecteur. Elle répond à un besoin de confort. Ce n’est malheureusement pas le cas de la majorité des autres élevages. Les poules y pondent souvent sur des tapis convoyeurs, des lattes de bois, des picots en plastique ou des nattes en caoutchouc.
Des poules chouchoutées, ce sont des œufs de qualité !
Utiliser du foin nous permet de maintenir les nids toujours propres. En plus, il dégage des arômes agréables. Nous le changeons régulièrement pour le confort de nos animaux.
Une poule qui pond son œuf sur du foin a tout le temps de s’en occuper. Elle le retourne et le place délicatement entre ses pattes.
Le vernis qui recouvre l’œuf sèche alors rapidement.
Cette enveloppe devient ensuite une protection sanitaire très efficace. Elle protège l’œuf du microbisme extérieur.
Dans Notre Basse-Cour®, nos poules ne consomment ni soja ni huile de palme !
Nos belles dames cocottes sont nourries exclusivement d’aliments fermiers répertoriés par la marque Notre Basse-Cour®. Ils se composent de céréales sans soja à plus de 75 % et sont certifiés sans OGM* et sans huile de palme. Ils ne contiennent aucun additif antibiotique ou probiotique.
Le savez-vous ? La plupart des animaux consomment de l’huile de palme et du soja, même en agriculture biologique !
Eh bien nous, nous respectons la proximité de nos approvisionnements ! La majorité du soja provient en effet d’Amérique du Sud ou d’Asie, et ce n’est pas la porte à côté !
En écartant ce type d’alimentation, nous participons à la préservation de la forêt primaire. Les cultures de soja, particulièrement celles sans OGM et sans huile de palme, s’implantent en priorité sur des zones de déforestation. Nous refusons d’encourager et d’être les complices de ces catastrophes naturelles. En 2016, 30 millions d’hectares de forêts ont disparu. Le double de 2014 et 2015, des années déjà alarmantes !
La déforestation participe à la disparition du puits de carbone, mais aussi au massacre des habitants. Elle soutient la corruption et les dictatures. Elle offre toujours plus de ressources et de moyens aux sociétés multinationales pour qu’elles poursuivent leur saccage.
Rappelons que la déforestation engendre :
- la diminution de la biodiversité ;
- l’aggravation des maladies infectieuses (source : rapport de l’IRD, de l’Inserm et de l’Université de Bournemouth) ;
- l’accroissement des catastrophes naturelles ;
- la destruction des sols ;
- la suppression des ressources en eau ;
- le changement climatique.